oh le sujet passionnant !
je fais le tour de mon pote âgé, et je reviens...
;-))
Soulevons donc ce voile, qui ta pensée obombre
Et cherchons tous ensemble, ses idées qui t’encombrent
Régalons nous ici, traquons la proie dans l’ombre
Jouons-nous du mystère, et des pensées sans nombre
Qui t’étreignent et te perdent, quand ta raison y sombre…
Pour de jolis projets, qu’en secret tu dénombres,
D’un geste, tu bouscules les objets en surnombre
Qui freinent tes élans, le lit tu désencombres…
La partie qui commence, tu sens que tu y sombres
À la faveur d’une carte, maîtresse au jeu de l’hombre
Enchérir, en chair rire, tu restes dans la pénombre
Et t’approches peu à peu, pour frôler un con qu’ombre
Une trop douce toison, bercée de reflets sombres…
Plus rien d’autre ne compte, et dans un geste d’hombre,
Arrachant les rideaux, la lumière chassant l’ombre
Te révèle… Tout est là ? Il n'y a qu’un concombre...
:-))